Texte et photos de Benoît Collet (*)
Dans la région rurale du Bongolava, les zébus servent au travail dans les champs mais sont surtout apprécies pour leur viande. Ils sont aussi synonymes de richesse pour les Malgaches.
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Cet homme d’un âge canonique s’est fait voler 80 zébus lors d’une attaque de dahalos,  des voleurs armés qui viennent s’emparer des zébus.
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Les femmes du village transportent le riz fraîchement moissonné. Riz et zébus forment un écosystème de subsistance fragile à Madagascar, où la sous-nutrition est un problème majeur.
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Jeune fille dans un champ de riz.
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Le fils d’un des plus gros éleveurs de zébus de Bevato. Il espère bien continuer à élever des bœufs, malgré le danger des dahalos.
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Le village de Bevato, où vivent de nombreux éleveurs, est régulièrement attaqué par les dahalos, des voleurs armés qui viennent s’emparer des zébus, parfois en tuant des villageois et des gendarmes.
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Les éleveurs en herbe ont déjà conscience de la menace des dahalos. Mais pour beaucoup, le travail de la terre est la seule perspective possible. Et sans zébus, pas d’agriculture possible dans un pays où les tracteurs sont rares.
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Un jeune gardien de zébus mène son troupeau d’une cinquantaine de bêtes vers Tsiroanomandidy, l’un des plus importants marché de zébus de Madagascar.
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Éleveur au travail.
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Les zébus se font de plus en plus rares sur les marchés du Bongolava. 90 000 zébus s’y échangeaient en 1990 contre seulement 60 000 ces dernières années.
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Un village d’agriculteurs-éleveurs, dans la région du Bongolava, connue pour être une terre d’élevage non loin de Antananarivo, la capitale de Madagascar.
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Les zébus sont conduits au fouet par les éleveurs dans les grandes étendues vallonnées et désertes du Bongolava.

(*) L’auteur

Benoît Collet, jeune journaliste et photographe amateur.

L’article original est accessible ici