L’énergie source d’un nouvel espoir, refait son apparition à la centrale nucléaire de Fukushima-Japon.
Ce matin, les ingénieurs ont mis leurs efforts en commun, pour trouver une solution au surchauffement de la centrale en question, afin de rétablir l’électricité du réacteur endommagé.
Ils ont évité que le combustible n’entre en fusion dans le cœur des réacteurs et ne libère d’importants rejets radioactifs dans l’atmosphère.
Les rumeurs qui circulaient sur le ciel de Paris, où l’on prévoyait que des particules radioactives envahiraient le bleu du ciel, semblent avec cette bonne nouvelle, ne plus être que l’ombre d’un fantôme.
La reprise de courant va permettre de réenclencher les systèmes de refroidissements.
En attendant, un groupe de personnes sur place continue de manière permanente à collaborer, à l’aide des pompiers et techniciens, en arrosant les réacteurs avec des canons à eau, malgré l’augmentation du niveau de radioactivité dans le secteur.
Le courage et la solidarité dont l’équipe présente fait preuve, mérite notre gratitude, pendant qu’ils sont dans l’action pour nous sauver la vie, en travaillant dans une zone à risques où les taux de radioactivité sont anormalement élevés, nous vivons l’incident en tant que simples spectateurs.
Si nos vies étaient en péril et le risque nous touchait tous de plus près géographiquement, la question,que chacun de nous devrait se poser : « Vous iriez éteindre une fusion nucléaire si on vous le demandait ? ».
On a relevé aussi hier que, dans certains produits alimentaires comme les fèves, épinards et lait, ainsi que dans l’eau du robinet, le taux de radioactivité est plutôt élevé, bien que le chef de cabinet adjoint du premier ministre, Tetsuro Fukuyama, tente d’assurer que cela ne représente aucun risque pour la santé.
Isabel Garcia