Depuis le 22 avril, l’hôtel City Plaza est occupé en réponse aux accords entre l’Union européenne et la Turquie (50.000 réfugiés « emprisonnés » en Grèce) et par nécessité : montrer au gouvernement comment il faut traiter les gens dans ce type de situation au lieu de les jeter dans des camps dans des conditions indécentes et inhumaines.
L’interview montre donc une initiative citoyenne d’autogestion pour l’hébergement des réfugiés. Actuellement, plusieurs occupations de ce type existent en Grèce.