Nos enfants, nos jeunes ont une fois de plus prouvé que la génération G peut changer le Bangladesh, peut changer le pays. Ils se sont mobilisés et ont travaillé dur pour donner une orientation adéquate au pays et, surtout, pour changer le système social en décomposition du Bangladesh.

Par Mohammad Nazrul Islam

Nous sommes le 8 août 2024. Il y a seulement trois jours, l’attitude dictatoriale de l’État, en tirant sur les étudiants, en les tuant et en lançant le rouleau compresseur de l’oppression dans le pays, ces étudiants ont enduré le meurtre, la torture et l’oppression. Les étudiants ont ensuite libéré le pays en faisant fuir la Première ministre, l’assassin Hasina, en s’emparant de la résidence de la Première ministre du Bangladesh. Mais juste après les douleurs de l’accouchement, les étudiants ont dû redescendre dans la rue pour empêcher le pillage et l’anarchie dans le pays.

Crédit photo : Mohammad Reaz Uddin

Alors que notre morale était et est toujours au plus bas, les étudiants des écoles, collèges et universités ont été trempés par la pluie et brûlés par le soleil – en effaçant les graffitis anti-Hasina sur les murs, en nettoyant les ordures sur les routes, en restant éveillés la nuit, en gardant les temples et les pagodes dans les quartiers et le trafic dans tout le pays pendant que les hommes de la police s’enfuient, laissant le pays et les gens sans défense.