On parle à New York d’une « décision historique », le secrétaire général de l’ONU António Guterres quant à lui évoque un jalon : les Nations unies reconnaissent le droit à un environnement sain comme un droit humain.
Un groupe de pays avec à sa tête le Costa Rica, avait introduit le texte et presque tous les États membres l’ont approuvé : l’assemblée générale de l’ONU a reconnu le droit à un environnement propre, sain et durable comme un droit humain à part entière. Jeudi, 161 États ont voté à New York, sans voix contre et avec huit abstentions dont la Russie, la Chine et l’Iran, pour adopter la résolution.
Bien que cette résolution ne revête pas de caractère juridiquement contraignant, les représentants de la communauté internationale ont néanmoins parlé d’une étape historique et d’un appel lancé aux gouvernements, aux organisations internationales et aux entreprises. L’assemblée générale avait en dernier reconnu en 2010 le droit à l’eau et aux installations sanitaires comme un droit humain.
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UN-saubere umwelt ist ein menschenrecht
