« Il devrait y avoir une formation pour les juges et pour les policiers. Les juges ne croient pas les femmes », soutient une manifestante. La manifestante réclame également d’investir dans les maisons d’hébergement pour les victimes de violence conjugale. « (La Presse)
Des centaines de personnes, mais surtout des femmes de tous les âges ont manifesté pour les droits des femmes. La manifestation était organisée par le regroupement Femmes de Diverses Origines. Elles ont marché pour le droit d’exister en tant que femmes et surtout pour en finir avec l’intimidation et la violence verbale dont elles sont victimes. Aucun politicien du Québec et du Canada n’était présent.
«So, so, so. Solidarité avec les Wet’suwet’en ! », criaient les centaines de manifestantes.s. En effet, cette année la cause autochtone était l’un des principaux thèmes de la marche annuelle du 8 mars.
Des pancartes brandies par des manifestantes évoquaient les nombreux enjeux féministes actuels : « Non au trafic d’être humain », « Nous les femmes ne sommes pas des marchandises », « Mon ex m’a dit qu’il m’aimait avant de me briser la main ». (La Presse)
« Je suis une rescapée d’une tentative de féminicide… Le juge ne m’a pas crue. Il a cru mon agresseur », lance Marion. La manifestante garde un souvenir amer de son expérience avec le système de justice et tenait à manifester pour dénoncer ce problème systémique. (La Presse)
La violence verbale et l’intimidation contre les femmes interpellent de plus en plus de femmes. Plusieurs se disent indignées par toutes les attaques lancées contre la jeune militante environnementaliste Greta Thunberg.