Ce dimanche 1er octobre a lieu la consultation pour l’indépendance catalane à travers un référendum populaire.

Les forces de police de l’état espagnol ont fait violemment irruption tôt ce matin devant les bureaux de vote, mais la vague populaire est très large et diffusée géographiquement. Les situations sont très différentes d’un endroit à un autre, dans beaucoup de lieux l’ambiance est festive alors que dans d’autres il y a des charges policières.

Au cours de la journée, différentes stratégies sont planifiées par la police et aussi par les citoyens organisés sur la base de la non-violence.

L’information suivante circule à travers les réseaux sociaux : la police et la Guardia Civil commenceront à partir de midi à saisir les bulletins de vote et les urnes. Ils entreront dans les bureaux de vote sans s’identifier afin d’arriver aux tables de vote sans problème et ensuite identifier les membres des bureaux de vote et prendre les urnes. C’est très important, car ce n’est pas la même chose de ne pas laisser les gens entrer et de prendre possession des urnes. C’est pourquoi il y aura deux groupes : un à l’extérieur pour qu’ils n’entrent pas, et un autre à l’intérieur près de la table de vote et des urnes pour que la police ne les contrôle pas, à aucun moment.

La Generalitat (gouvernement de la communauté autonome de Catalogne) a annoncé un changement majeur dans la logistique de la consultation 1-O (1 octobre) pour les nouveaux membres de la commission électorale. Ce changement implique que les 5,3 millions de Catalans pourront voter dans n’importe quelle école de leur région grâce à un recensement général.

Traduction : Répression de la police espagnole à Ramón Llul de Diagonal

Traduction : Les citoyens laissent voter d’abord les personnes âgées lors de la consultation pour l’indépendance catalane.

 

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