L’institut de sondage Public Issue a publié que 50 pour cent des grecs résidant dans la capitale cautionnent le fait d’offrir des opportunités de travail aux réfugiés actuellement bloqués dans le pays.
De cette manière, les athéniens ont montré leur disposition à offrir du travail aux migrants irréguliers présents dans la nation, même si le sondage révèle également que seule une minorité de ces derniers désirent rester sur le territoire grec, y compris s’ils sont employés.
Les données exposées sont quelques unes des statistiques collectées par l’étude qui a été prise en charge par la mairie d’Athènes et présentée de manière officielle par le maire de la ville, Yorgos Kaminis.
Concrètement, la moitié des habitants de la capitale soutiennent l’idée que des permis de travail puissent être concédés aux réfugiés, qui selon les derniers chiffres sont près de 18 mille à Athènes.
Et pourtant, on apprend que parmi les 1600 migrants du camp de réfugiés d’Eleonas et les 901 inscrits aux programmes de logement, seul 10 pour d’entre eux pensent rester en Grèce, puisque la grande majorité cherche à émigrer vers d’autres nations européennes comme l’Allemagne, le Royaume-Uni, l’Italie ou la France.