A Santiago, la police chilienne a dû recourir à l’utilisation de canons à eau pour séparer des chauffeurs de camions et des indiens Mapuches qui en étaient venus aux mains.
Les chauffeurs protestaient contre les attaques ciblant leur véhicules qu’ils imputent aux Mapuches de la région d’Araucanie. Ces derniers, de leur côté, réclament l’exclusion de leur territoire ancestral des compagnies forestières qui exportent de la lignite que les chauffeurs de camions transportent.