Hier, vers dix heures du matin, a été inaugurée la seconde foire des initiatives non-violentes dans les locaux du centre de développement communautaire Atahaulpa, sous le moto qui lui est propre : »parce que la non-violence aussi existe ».
Cet événement, qui eut lieu la première fois en octobre 2011, a été organisé par la communauté pour le développement humain, Pressenza et le centre d’études humanistes de Quituquinde. Il réunit plus de 30 organisations, institutions éducatives et collectifs qui mettent en avant plusieurs actions et propositions empreintes de non-violence et de non-discrimination.
Le conseil municipal de Quito, au travers de l’administration zonale du sud, a appuyé l’organisation de ces fêtes. Pendant l’inauguration et avec la participation d’enfants des collèges du secteurs, d’ami(e)s humanistes et représentants des diverses institutions, le délégué de l’administration zonale, Fernando López, appela à un retour à nos origines, au meilleur de l’être humain et à sa condition de non-violence. De son côté, Walker Vizcarra de la communauté pour le développement humain a accueilli les gens, les a invité à participer et à visiter la foire et à se joindre à ceux qui travaillent ou veulent travailler pour la non-violence active, en toute sécurité.
Dans un moment sincère et émouvant, les participants ont demandé à ce que « la non-violence entre dans nos familles, nos écoles et nos vies ». La foire dura le samedi 24. Le dimanche 25, les participants à cette foire joindront tous leurs efforts dans un grand évènement public pour la journée internationale de la non-violence contre la femme.
Traduction de l’espagnol : Frédérique Drouet