Le Secrétaire Général a confirmé que les élections dans le pays d’Amérique Central ne seront pas validées tant que le président constitutionnel, Manual Zelaya Rosales, n’était pas rétabli dans ses fonctions.
Insulza a expliqué qu’une succession démocratique au Honduras « ne pourrait être garantie que si le président constitutionnel reprenait ses fonctions », mettant aussi l’accent sur le fait qu’« il n’y a pas d’autres alternatives ». Il a aussi mentionné que « s’il n’y avait pas de garanties suffisantes pour des élections démocratiques, il était peu probable que les élections soient reconnues ».
Le Secrétaire Général de l’OEA a rappelé que les Etats-Unis s’opposaient à ces élections si le pouvoir démocratique n’était pas rétabli.
Insulza a fait cette déclaration lors de la célébration du 50e anniversaire de la Commission Interaméricaine des Droits de l’Homme (CEDH).
(PÚLSAR/Telesur)
Traduction : Sonia Erraud