Economie
Banque mondiale : c’est l’heure de dire non à l’accaparement des terres
La Banque mondiale joue un rôle de premier plan dans la promotion de politiques visant à encourager la fusion et acquisition de terres à grande échelle par quelques investisseurs privés. Cela se traduit par le phénomène, maintenant largement répandu à travers la planète, nommé : l’accaparement des terres.
Le droit à un revenu de base : nouveau paradigme du 21è siècle
La loi brésilienne prévoit le droit au revenu de base; en Allemagne, Suisse, Afrique, France, Belgique, on l’étudie en tant qu’alternative économique pour demain. Enno Schimidt et Daniel Häni nous invitent à une réflexion pleine d’espoir, et en images. Un film pédagogique très clair et pertinent. Soudain, nous osons être déjà demain.
Goldman Sachs n’est pas une brebis galeuse mais bien l’incarnation du système.
La démission d’un directeur de la banque Goldman Sachs suite aux accusations de corruption ont pu laisser penser qu’il s’agissait d’un cas isolé. Toutefois, même si nous sommes reconnaissants envers Greg Smith d’avoir mis en lumière les manquements de ce géant de la finance, nous ne devons pas perdre de vue le fait qu’il incarne le fonctionnement même du système.
Quand les banques se mêlent de la bombe
Un rapport innovant publié par ICAN identifie dans 30 pays plus de 300 banques, caisses de retraite, compagnies d’assurances et gestionnaires de fortune ayant des investissements dans la production d’armes nucléaires. Nous reproduisons ici la lettre d’ICAN à Monde Sans Guerres (1) illustrant le soutien du système bancaire au plus grand danger qui menace l’humanité.
Lettre au Conseil National de la Résistance
A tous les résistants et résistantes en marche, et tout particulièrement à Raymond Aubrac, Daniel Cordier, Philippe Dechartre, Stéphane Hessel, Lise London et Georges Séguy, qui ont su nous transmettre si affectueusement cette flamme de résistance, cette envie de construire ce monde autrement. Cette flamme nous a réchauffés,
Le Cemac en Afrique : pourquoi la libre circulation des biens et des personnes n’est toujours pas effective ?
Le principe de la libre circulation des biens et des personnes dans la zone adopté par les pays de la communauté économique et monétaire, les six Etats de l’Afrique centrale(Cemac) dans le but de contribuer à l’intégration sous-régionale n’est qu’un vœu pieux pour les six Etats de la zone, à savoir le Cameroun, Congo, Gabon, Guinée équatoriale, RCA et Tchad.
750 000 familles menacées par la privatisation de la filière café au Burundi
Suite aux exigences de la banque mondiale, le gouvernement burundais se voit contraint de privatiser la filière café, source de revenus la plus rentable de ce pays pauvre.
Après le Cameroun, un autre état africain doit ainsi se laisser déposséder de son patrimoine, au bénéfice de multinationales ou de particuliers, au détriment de la population et de l’économie du pays.