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Une délégation de la Marche Mondiale a été reçue ce lundi par Alain Marc, chef de cabinet du Ministre de la Défense. Alain Ducq, porte-parole de la Marche Mondiale en France, a exigé que  » la France applique le Traité de Non Prolifération, détruise ses 348 têtes nucléaires françaises, retire ses troupes d’Afghanistan et ferme ses bases militaires situées en Afrique. »

Bruxelles, Capitale de l’Europe, recevait ce jeudi 5 novembre l’équipe de base de la Marche Mondiale pour la Paix et la Non-Violence. Des représentants du monde politique, diplomatique associatif, culturel, belges autant que internationaux exprimèrent lors de la réception leur engagement pour un monde de paix et de non-violence.

Pour rappeler à nos élus européens les revendications de la Marche Mondiale,
Pour manifester par un rassemblement puis une marche dans les rues de Bruxelles, une délégation fut reçue au Parlement européen ce 5 novembre pendant que les responsables politiques de gauche et d’associations pour la paix s’exprimaient sur la Place du Luxembourg.

Suite à la rencontre avec l’équipe de base internationale de la Marche Mondiale, le porte-parole international, Rafael de la Rubia et Gilles Smedts pour l’équipe promotrice de Belgique, ont remis à Monsieur Joe Higgins, député irlandais une lettre officielle destinée à chacun des parlementaires européens, afin que ceux-ci s’engagent pour une Europe de Paix.

Après avoir traversé plus de 20 pays, la Marche Mondiale a fait escale à Paris. À pied, en voiture, en bus, en bateau, dans un cinéma et enfin au ministère de la Défense, les Marcheurs internationaux et parisiens, accompagnés du porte-parole français Alain Ducq, ont fait connaître les 5 revendications de cette campagne mondiale, ainsi que leur application à la France.

Les nombreux partisans de la Marche Mondiale pour la Paix et la Non-violence qui ont fait le déplacement à Berlin depuis toute l’Europe et des différentes parties du monde pour participer au Sommet des prix Nobel de la Paix se réuniront le 10 novembre de 17h à 23h dans le magnifique café-restaurant Kalkscheune, situé à Johannisstraße 2, au centre de Berlin.

Il y a 20 ans, le monde assistait avec effroi et espoirs à la chute du mur de Berlin, emblème du climat de méfiance et de haine qui planait sur les relations entre les nations et les peuples. Ceux qui célébraient cet évènement se réjouissaient de la réunification de l’Allemagne et de la fin de la guerre froide et espéraient qu’une ère de liberté et d’optimisme s’installe.

« La musique est le langage des peuples, un des signes d’excellence et de croissance », affirme le Conservatoire national de musique Edward Saïd. Ses programmes ont pour objectif d’améliorer la vie musicale des palestiniens de tous les âges et issus de tous les groupes socio-économiques. Tous peuvent découvrir leur talent.

Cette déclaration, qui sera présentée au Sommet des Lauréats du Prix Nobel de la Paix à Berlin du 10 au 11 novembre a été signée par Patricia Arriagada et Roberto Kohanoff, au nom de l’Équipe de la Marche Mondiale pour la Paix et la Non-violence du Moyen-Orient, et par Giogio Shultze, porte-parole des Humanistes Européens.

Après avoir été reçue par la délégation hongroise de la Marche mondiale pour la Paix et la Non-violence et son représentant Balazs Szigeti, les marcheurs ont accompli sous la pluie une marche mémorable et pleine de surprises. Jongleurs de feu, danseurs, choristes ont émerveillés les marcheurs avant d’arriver sur le parvis du château de Budapest.