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Le tortionnaire Jorge Rafal Videla a admis que la dernière dictature militaire a fait disparaître « sept ou huit mille personnes » et pour justifier les crimes il a assuré « qu’il n’y avait pas d’autres solutions ». De plus, le génocidaire a accepté la complicité civile de « chefs d’entreprises » même s’il leur reproche leurs attitudes passées.

Ce texte de Louisa Reynolds, publié sur le site de [Noticias Aliadas](http://www.comunicacionesaliadas.org/articles.asp?art=6589) le 23 mars 2012, revient sur la condamnation, par un tribunal guatémaltèque, d’un autre militaire ayant participé au massacre de Dos Erres en 1982.

[Sur Alterinfos](http://www.dial-infos.org/alterinfos/spip.php?article5482)

La déclaration du Mouvement Populaire Contre l’Énergie Nucléaire (MPCEN), datée du 16 Mai 2012, clarifiait de manière urgente que l’organisation pacifique n’est pas complice des alertes à la bombe, mais voit cette allégation comme un stratagème des autorités locales pour entraver des sit-ins et autres formes de désobéissance civile.

La Banque mondiale joue un rôle de premier plan dans la promotion de politiques visant à encourager la fusion et acquisition de terres à grande échelle par quelques investisseurs privés. Cela se traduit par le phénomène, maintenant largement répandu à travers la planète, nommé : l’accaparement des terres.

Les participants promettent non seulement de paralyser tous les Etats-Unis, mais aussi de rendre cette grève mondiale sur-le-champ. Pour la première fois de l’histoire des Etats-Unis, des milliers de travailleurs, d’étudiants, d’immigrants et de chômeurs de plus de 115 villes du pays participeront à la grève nationale prévue le 1er mai.

A travers les réseaux sociaux circule un message qui se multiple exponentiellement jour après jour. Il s’agit d’un texte très simple écrit par Ronny, professeur et designer graphique d’Israël. Il dit : « Iraniens, nous ne bombarderons jamais votre pays, nous vous aimons ». Pourquoi les gens communs devraient favoriser une guerre ? Pourquoi contre l’Iran ?

**Révoltés arabes, indignés européens ou occupants américains, tous se sont rassemblés derrière le même message d’espoir : Un autre monde est possible!** Ce vent de contestation mondial souffle aujourd’hui sur le Québec. Il est porté par le courageux combat des étudiant(e)s pour le droit à l’éducation. La manifestation monstre du 22 mars a lancé le **printemps érable!**

21 avril : Arrivée des marches à la Fontaine des Innocents Place Joachim du Bellay (Métro Les Halles – Porte Lescot).

Tant dans le domaine social que dans celui des relations personnelles, on observe aujourd’hui des tentatives de relations plus horizontales qui s’appuient sur le consensus et semblent être les indicateurs d’une nouvelle sensibilité. Approfondir le concept de consensus,

Devant la difficulté croissante d’obtenir des informations sur ce qui se passe réellement au Mali, il est primordial de donner la parole aux connaisseurs de la situation. Dans une interview accordée à Amy Goodman de Democracy Now! Firoze Manji, ex-directeur d’Amnesty International en Afrique, explique dans les grandes lignes la réalité malienne.