International

Rajagopal, fondateur d’Ekta Parishad, mouvement indien de lutte non-violente pour la défense des droits des paysans sans terre, fait le tour de l’Europe ces jours-ci. A Madrid, il a rencontré diverses organisations dans l’intention de créer un réseau de soutien à ses actions dont le but est de changer les lois en faveur des couches les plus pauvres de son pays.

Madame Danielle Mitterrand, présidente de la fondation France Libertés, exprime lors d’une interview les nombreuses raisons pour lesquelles elle soutient la Marche Mondiale. Elle dénonce notamment le budget de l’armement au détriment de l’eau pour tous et se réjouit que les peuples communient pendant 3 mois autour d’un même projet : un monde de paix et de non-violence.

Les membres de l’équipe de base ne sont pas venus en vain en Corée du Sud. Grâce à leur visite dans ce pays surnommée le « Pays du matin calme », c’est la première fois que des étrangers se rendent dans la zone le long de la frontière entre les deux États dite « zone démilitarisée » (DMZ) qui est la zone tampon concentrant le plus grand nombre de forces armées au monde.

Les membres de l’équipe du Proche-Orient de la Marche Mondiale ont quitté Bethléem après une journée passée dans les territoires occupés. Ils étaient accompagnés de représentants de l’association Holly Land Trust de Bethléem, une association à but non lucratif qui travaille depuis des années sur le développement non-violent des communautés palestiniennes.

Les Prix Nobel de la Paix et les Organisations Nobel pour la Paix se réuniront à Berlin les 10 et 11 novembre prochains. Lors de cette huitième édition du Sommet, ils proposeront la « Charte pour un Monde Non-violent » afin qu’elle soit signée par toutes les organisations et personnes qui coïncident avec ce point de vue : « La violence est une maladie que l’on peut prévenir ».

Les vingt marcheurs sont arrivés le 12 octobre à New Delhi pour honorer plusieurs rencontres dans diverses provinces de l’Inde. Après une longue marche à New Delhi, où l’équipe de base a été reçue par Tara Gandhi Bhattacharji, petite-fille de Gandhi, le groupe s’est séparé pour se rendre à Bombay, à Amritsar, Chennai et Trichur (Province du Kerala).

Les 11 et 12 octobre, l’équipe du Moyen Orient de la Marche Mondiale pour la Paix et la Non-violence est passée par Tel-Aviv et Jérusalem. Parmi les marcheurs : le porte-parole européen de la Marche, Girorgio Schultze. L’équipe a été reçue par le directeur de l’Académie hébraïque de Musique et de Danse de Jérusalem et le conseiller Meir Margalit du Parti Meretz.

« Les Jeux Olympiques symbolisent l’abolition des armes nucléaires et la paix dans le monde », a déclarée Tadatoshi Akiba, maire d’Hiroshima. Le Comité international olympique (CIO) examine – en vue des Jeux Olympiques de 2020 – les candidatures des villes japonaises qui, en 1945, ont été les cibles d’attaques nucléaires, ayant coûté la vie à près de 220 000 personnes.

Des membres de l’équipe de base ont marché aux côtés de Bangladeshis à Dhaka. L’événement a été organisé dans le cadre de l’Universtié de la capitale par l’association « Un Monde sans guerre » et autres membres du mouvement humaniste. Pour l’occasion, une conférence de presse a été organisée avec une vingtaine de journalistes venus nombreux.

A quelques jours des faits sanglants qui ont secoué la Guinée, on ne peut éviter de s’interroger sur les causes qui ont conduit à cette tragédie avec un bilan de plus de 150 morts (57 selon des sources gouvernementales) et plus de 1200 blessés graves. Mais sans se laisser tenter par des interprétations faciles : qu’est ce qui arrive réellement en Guinée ?